Cette molécule est un peptide de synthèse, appelée « kisspeptine C6 ». Elle représente une alternative particulièrement intéressante à l’utilisation d’hormones issues de sérums animaux (en particulier l’equine chorionic gonadotropin ou eCG). Publiés dans PLOS ONE le 28 mars 2019, les résultats de ces travaux ouvrent des perspectives pour de nouvelles stratégies de maîtrise de la reproduction des animaux, pour des systèmes d’élevage plus durables, plus respectueux de l’environnement, ainsi que de la santé des animaux et des Hommes.