Les météorites en apportent régulièrement, mais elle n’a laissé aucune trace ancienne. Elle a été repérée et analysée par des chercheurs du CNRS, de Chimie ParisTech, des universités de Tours et de Lille. Leur publication, dans la revue Geochimica et Cosmochimica Acta, offre un premier modèle pour distinguer ces molécules venues d’ailleurs de celles produites sur Terre.
Références de l'article : D. Gourier et al.
Extraterrestrial organic matter preserved in 3.33 Ga sediments from Barberton, South Africa.
Geochimica et Cosmochimica Acta - Mai 2019 - DOI: 10.1016/j.gca.2019.05.009