Mardi 2 décembre 2008 à 13h30
Auditorium Charles Sadron – Délégation
en présence du jury composé de :
- M. Jean-Claude BELŒIL Directeur de recherche, CNRS, Orléans Directeur de thèse
- M. Chrit MOONEN Directeur de recherche, CNRS , Bordeaux Rapporteur
- M. Christoph SEGEBARTH Directeur de recherche, INSERM, Grenoble Rapporteur
- M. Alain MEUNIER Directeur de recherche, Abbott Spine SA, Bordeaux Examinateur
- M. Joël MISPELTER Directeur de recherche, INSERM, Orsay Examinateur
- M. François RANNOU Praticien hospitalo-universitaire, INSERM, Paris Examinateur
- Mme Françoise VOVELLE Professeur, CNRS, Orléans Examinateur
Le Victor V3 est équipé d’une détection permettant plusieurs types de mesures: Spectrocolorimétrie (mesure d’absorption UV ou visible), Luminescence (par ex. Luciférine), Fluorescence, Fluorescence polarisée, Fluorescence en temps retardé.
Un jeu de filtres d’excitation et d’émission permet de choisir les longueurs d’ondes adaptées à de nombreux marqueurs fluorescents (actuellement déjà 7 filtres d’excitation et 11 filtres d’émission sont installés).
Ce système accepte tous les types de microplaques de 1- à 1536- puits, mais peut également être utilisé avec d’autres supports (boites de Pétri, lames de microscope…).
Il permet également le suivi de cinétiques, le contrôle en température, le mélange automatique des plaques avant la mesure, l’ajustement de la hauteur de mesure, le choix de mesure de la fluorescence par le dessus ou le dessous de la plaque, et d’autres fonctionnalités à venir découvrir!
L’analyse des résultats peut être totalement manuelle, avec juste la sortie d’un fichier Excel avec les valeurs brutes, ou complètement automatisée, jusqu’à la sortie d’un rapport présentant les résultats finaux (constantes de vitesse, comparaison aux standards, analyse statistique, etc …), dans un fichier Word ou Excel.
Vous êtes donc invités à venir le découvrir et l’utiliser, après une petite présentation personnalisée pour vous familiariser avec le logiciel.
Pour tout complément d’information, contacter S Villette ou JM Malinge
Des chercheurs du Centre de Biophysique Moléculaire (CBM) à Orléans, associés à des chercheurs de l’Institut de Chimie des Substances Naturelles (ICSN) à Gif s/ Yvette, ont démontré qu’en utilisant une nouvelle classe d’agents de contraste IRM sensibles à des enzymes, il devient possible de localiser la région de l’organisme qui contient cette enzyme. Il s’agit en fait de sortes “d’interrupteurs” moléculaires qui, lorsqu’ils sont “déclenchés”, assurent une détection IRM en 3 dimensions.
Cette découverte a fait l’objet d’un “very important paper” dans la revue Angewendte Chemie International Edition
Communiqué de presse / références / contacts
Martine Cadène (équipe Spectrométrie de masse : structure et interactions des biomolécules) et Vincent Aucagne (équipe Peptides, glycopeptides et protéines de synthèse) ont vu leur projet respectif « Caractérisation d’un nouveau site cible pour la conception et la synthèse raisonnée de ligands à visée anti-métastases » et « Synthèse totale de protéines : développement d’outils innovants pour la ligation native de fragments peptidiques » retenu par l’ANR pour être financé dans le cadre des appels à projets ANR « programme BLANC » pour le premier et « jeunes chercheurs » pour le second.
Le projet « Docking de ligands sur un récepteur flexible » déposé par notre collègue Norbert Garnier (équipe Simulation numérique, modélisation et dynamique moléculaires) auprès du Conseil régional du Centre dans le cadre de l’appel à projets « Recherche – thématique » 2008 a été retenu pour un financement régional.
L’équipe de Patrick Midoux (équipe Transfert de gènes par des vecteurs synthétiques) participera avec 5 autres laboratoires français à un Réseau Stratégique financé par l’AFM (Association Française contre les Myopathies) sur un projet de recherche intitulé « DNA-nanoparticles for skeletal muscle and airway epithelium in vivo gene therapy ».


Le QFM-400 de la société
Bio-logic permet le suivi de réactions chimiques ou enzymatiques en régime transitoire (≥ms) ou la préparation et le piégeage d’intermédiaires réactionnels de faible durée de vie suivant la technique de “Chemical Quench Flow”. La conception spécifique du QFM-400 autorise des régimes de flux variés (continu, interrompu ou pulsé), le contrôle indépendant de chacun des 4 canaux d’injection, et l’utilisation de micro-volumes d’échantillons (~10 µL par point réactionnel). Cette technologie est notamment complémentaire des approches de suivi en temps réel de type ‘stopped-flow’ (instrument bi-canal
SFM-20 couplé à un spectromètre CD) et de mesure par résonance plasmonique de surface (instruments
BIACORE) déjà disponibles au CBM et élargit les possibilités d’étude des mécanismes des réactions chimiques et enzymatiques. Le QFM-400 pourra être adapté ultérieurement à des applications plus spécifiques (Freeze-quench; H-D exchange; double-delay reactions; photolysis/light-activated experiments, etc…) via l’acquisition de modules optionnels dédiés.
Infos supplémentaires et conditions d’accès: contacter M. Boudvillain.